Ps: Pensées Sabriniennes

Cette fois, je ne vais ni pleurer mes peines, ni étaler mon bonheur  Cette fois, je voudrais partager un petit moment de réflexion que j'ai eu d'une manière très soudaine et qui n'a, malheureusement, pas trop duré Après avoir décidé de rester seule, déconnectée du monde, connectée à moi-même, je suis arrivée à mieux me comprendre et à mieux me connaître Et oui, je ne me connaissais pas assez avant ce moment-là et je suis très heureuse d'avoir vécu cette petite expérience, vide en êtres humains, riche en liens établis avec mon âme  J'ai compris que nous vivons dans un monde virtuel, plein de "j'aime"s, de messages qu'on voudrait tant ignorer et d'amis virtuels qui ne cherchent qu'à savoir quand est-ce que j'étais dernièrement active sur les réseaux sociaux  J'ai compris que nous subissons de l'hypocrisie même de la part de nos plus proches amis  J'ai compris que l'amour et les sentiments transmis par des mot

A travers ce livre j'ai été choquée, émue, perdue, triste, sans mots ...  A travers ce récit, j'ai vécu une expérience unique qui m'a mise dans la peau d'une pauvre petite femme victime d'une société patriarcale et d'un monde cruel Elle a été battue, brûlée, traitée de tous les noms ... Je ne pense pas que les mots de ce livre puissent nous faire sentir le degré du chagrin qu'elle a subi mais, il laisse bien une petite trace de pitié qui nous empêche d'oublier cette femme malheureuse Je le recommande vivement.  S.J

Voyager,    Comment peut-on détester ?   Comment peut-on nier ses bienfaits ?   Sa liberté, comment ne peut-on pas respirer ?   Ses nouvelles rencontres, comment peut-on y échapper ?   Ses nouvelles cultures, comment ne peut-on pas apprécier ?   Par sa magie, comment ne peut-on pas se laisser aller ?   Par ses risques et son adrénaline, comment ne peut-on pas se laisser heurter ?   Par ses leçons, comment ne peut-on pas se laisser éduquer ?   Par sa patience, comment ne peut-on pas se laisser développer ?   Soi-même, comment peut-on ne pas être curieux de découvrir ?   Des nouveaux liens, comment ne veut-on pas bâtir ?   Des horizons, comment ne veut-on pas élargir ?   Un cocon, comment ne veut-on pas détruire ?   Ceux qui n’aiment pas voyager, j’en ai rencontré   Mais jamais, jamais je ne les comprendrai ! S.J